Le DJOKANO représente les rythmes et les chants sacrés du DJOKAN. Vibration divine et chansons traditionnelles en l’honneur du DJOKAN qui rappelle sa genèse, son histoire, comment il a été créé et pourquoi il est la.
Le DJOKANO rend hommage à la Guyane Terre sacrée, au DJOKAN l’ Art Martial Amazonien, à son père Fondateur le Gran Dôkô Sawani Makan, ses Hommes et ses Femmes qui ont contribué à son Développement.
En 2014, le DJOKANO reçoit un prix et la distinction de “Patrimoine Musical Guyanais” (voir vidéo ci-dessus) par le président de la Région Guyane M. Rodolphe ALEXANDRE.
Le DJOKANO est un message divin, un message de paix et d’amour, un message d’espoir, un message d’ouverture des consciences.
Le DJOKANO raconte notre diversité culturelle, fondement même de la culture guyanaise socle de notre projet spirituel.
LES ORIGINES DU DJOKANO
Le DJOKANO est une fusion des rythmes tambourinés amérindiens, bushikonde sama (des Bushinengé) et créoles de la Guyane. En effet, le Gran Dôkô passionné de percussions et chercheur en Ethnomusicologie, à développer des rythmes spécifiquement pour le DJOKAN. Il existe donc des rythmes guerriers pour le combat et le travail de conditionnement (comme le Djoumba) et des rythmes plus posés pour le travail sur l’ancrage, le centrage, le lâcher prise, la relaxation et la méditation (comme le Dérédi).
Gran Dôkô Sawani Makan s’est d’abord initié aux percussions créoles, au Sanpula (tambour sacré Kali’na), à l’Apinti (tambour sacré Bushinengé) mais aussi au N’Kul (percussion sacrée du Cameroun) qu’il a intégré dans le jeu DJOKANO, en 2012, après son premier voyage au Cameroun. D’autres instruments notamment les instruments à vents (flûte de bambou) sont venus enrichir son “jeu afraoamazonien”.
Le DJOKANO est bien plus qu’un rythme mais c’est le battement du cœur du DJOKAN. Il amplifie l’énergie interne des Djokanka, éveille le “guerrier qui sommeil en lui”.